Une rencontre innatendue dans un bar entre une octogénaire et un inconnu va faire ressurgir du passé des souvenirs amers.

Ancienne résistante, Rose porte un lourd secret dont elle veut se libérer... avant de... Quel est donc ce mystérieux aveu ? Pourquoi si tardif ? Qui est réellement cette jeune provinciale qui va connaître un incroyable destin ?

Étrange retour dans une époque insouciante qu'une jeune fille gaie et ambitieuse s'apprête à embrasser avidement, et qui va soudainement basculer dans la cruauté et la barbarie.

Amour et amitiés, courage et lâcheté, haine et vengeance : tous ces sentiments ont émaillé la longue existence de cette femme au corps et à la mémoire torturés par la férocité de la guerre. Ses pérégrinations chaotiques, ses souffrances morales, l'on poussée vers une farouche et inexorable obsession de vengeance. Une vengeance qui va hanter ses pensées jour après jour, nuit après nuit.

Dans cette fresque émouvante se côtoient sœurs de la Charité, frère chéri, flic alcoolique, héros anonymes et autres personnages hauts en couleurs.

Pour écrire ce roman, Alain Roquefort, originaire du Sud-Ouest, a fait de minutieuses et fructueuses recherches dans les archivesafin de respecter la véracité d'événements qu'il méconnaissait et qui pourtant l'attirait. 

« Une souris d'ordinateur est-elle plus cultivée qu'un rat de bibliothèque ? » C’est la question que se posent ces animaux du Bestiaire Loufoque, aux aventures extraordinaires qui ne vous apprendront rien sur l’histoire naturelle, puisque tout y est surnaturel ! Mais en fin de livre on trouvera bien pratique la définition de toutes les expressions ou proverbes utilisés.

La finalité de ce livre humoristique où la dérision l’emporte sur la fable, est d’amener le jeune lecteur comme l’adulte aguerri, à sourire toutes les deux ou trois lignes, à s’amuser en découvrant les différents jeux de mots à travers les expressions populaires et proverbiales françaises détournées de leur sens. « Un chameau a deux bosses, mais quand il bosse, ce n’est pas pour cela qu’il travaille deux fois plus qu’un dromadaire ! »

Elles appartiennent au patrimoine linguistique et transmettaient oralement une certaine sagesse populaire ou une vérité d’expérience. Or avec les langages SMS, les jeunes ne les connaissent plus et parfois ces expressions se perdent… Une ministre en novembre 2009 a publiquement parlé « d’arrêter de se taper la poulpe... » Au lieu de dire « battre sa coulpe !» Ne boudons pas notre plaisir et dégustons chaque soir l'explication d'une locution proverbiale pour dormir moins ignorants !

Depuis plus de 45 ans qu'il écrit des textes d’humour et jeunesse, Guy Mothe a attendu la fin de sa carrière professionnelle pour regrouper par thèmes et en douze volumes, ses milliers de textes humoristiques aux histoires impayables, parsemées de pensées ou d'annonces amusantes et d'aphorismes aussi drôles qu'imprévus. Également animateur régulier d’ateliers d’écriture humoristique à Ciadoux dans le Comminges et à Toulouse, l’auteur intervient dans les écoles et collèges de Midi-Pyrénées lorsque ses lecteurs enseignants le lui demandent. Il improvise un quatrain d’humour avec des rimes sur le thème choisi par chaque lecteur lors des dédicaces. Livres disponibles aux librairies de Saint-Gaudens et Maisons de la Presse du Comminges ou sur internet : www.jaidesmots.com

La couverture du livre

À la mort de son père, un célèbre restaurateur de tableaux, Florence se rend chez le notaire pour régler les formalités d’héritage. Elle se trouve alors dans l’obligation inattendue d’écouter une lettre, écrite vingt-cinq ans auparavant, et dont le contenu la laisse abasourdie : la Joconde serait toujours vivante !

Elle aurait traversé les siècles à l’intérieur du tableau grâce à une invention méconnue de Léonard de Vinci, les pigments d’éternité, prévus pour fondre le jour où Mona Lisa rencontrera l’amour. Florence va alors entreprendre une enquête afin de comprendre sa propre histoire, celle d’un père dont elle découvre la face cachée, d’une mère qu’elle n’a jamais connue et celle de la plus célèbre peinture au monde…

L’auteur nous emmène dans une aventure où le Temps transcende le temps et dont le suspense ne faiblit jamais, mais qu’on ne s’y trompe pas, il aborde aussi des thèmes tels que la fascination exercée par l’œuvre d’art sur nos contemporains et le rapport très particulier liant le peintre à son modèle.

Philippe Nonie est âgé de 46 ans. Il travaille comme conseiller en prévention des risques professionnels et vit dans les Hautes-Pyrénées.

« Les pigments d’éternité » est son troisième roman après « Carnets d’esprit » paru aux éditions L’Harmattan en septembre 2012 et « l’Inconnue », publié chez Calmann-Levy en 2011. Ce dernier roman a obtenu le Prix « Nouveau Talent 2011 ».

Alice et Gabrielle, qui ne se sont pas adressé la parole depuis dix-sept ans, se retrouvent pour les obsèques de leur mère dans un petit village des Baux-de-Provence. Au moment du partage des biens , le notaire de la famille leur confie un étrange coffret en bois. A l'intérieur, quatre cahiers écrits à la main : le journal intime de Geneviève Lamarthe. Au fil des pages, le voile va se lever sur un secret de famille vieux de plus de soixante-dix ans. Au-delà de la repentance et de la difficulté du pardon, une question demeure : jusqu'où serions-nous capables d'aller pour rester en vie ?

Vème avant Jésus-Christ, tandis que la démocratie de Périclès rayonne en même temps que l'influence d'Athènes ne cesse de croître sur l'Europe de l'Asie Mineure, Thargélie, toute jeune femme milésienne, s'éveille à l'amour.

Désireuse de découvrir le monde grec, ses tribulations la mèneront de Milet à l'île de Cos et d'Athènes vers d'autres territoires tout aussi étincelants, nous dévoilant ainsi son caractère passionné mais paradoxalement soumis : les désirs des autres devenant les siens.

Obéit-elle à l'homme par nature, par ruse et intérêt ou bien l'amour transforme-t-il la dépendance en liberté ?

Entre risque et sagesse, l'intelligence dont elle fait preuve lui permettra-t-elle de faire les bons choix ?

Habitant un petit village du Comminges, l'auteur a été professeur de philosophie. Ce roman, qui est le premier à être édité aux éditions Velours, a reçu le prix spécial du jury au salon du livre des gourmets de lettres 2012, placé sous l'égide de l'académie des jeux floraux, hôtel d'Assézat à Toulouse.