la couverture du livre.

Jean-Claude Auriol est né en 1946 à Toulouse. Après une carrière dans le milieu bancaire, il est devenu une référence sur les systèmes cocentrationnaires allemands et sur la Grande Guerre. Collectionneur féru de documents sur cette période, il organise des expositions et conférences consacrées à la vie de l'homme et de la femme durant cette terrible guerre 1914-1918.

« Connaître et faire connaître l'histoire du passé est la leçon de l'avenir », tel est le fil conducteur de l'auteur, qui après avoir publié : "Les barbelés des bannis", "Mémoire de papier" et "Verdun 1916, un regard sur une bataille", publie aujourd'hui un nouvel ouvrage : "Les ténèbres de l'occupation".

L'auteur a essayé dans cet ouvrage de donner une vision de l'occupation allemande durant la Grande Guerre. Il s'est basé sur des recherches de plusieurs décénies et des archives souvent inédites, sinon sorties de l'oubli.

Son travail a été de tenter de retracer l'histoire de ces quatre années atroces, de donner une idée de la vie quotidienne des soldats allemands, de monter les souffrances subies par les civils sous le joug allemand.

Il a voulu également faire revivre l'esprit de l'époque et replacer l'événement dans son contexte socioculturel, faute de quoi on ne peut appréhender comment cette période douloureuse fut vécue : le patriotisme, l'abnégation, le sentiment de sacrifice, comme le découragement et même l'humour.

C'est un livre rare sur ce sujet, qui a le mérite de révéler des faits peu connus, mais pourtant bien réels. L'opinion publique a, volontairement ou pas, occulté cette partie de notre histoire... peut-être que si la population française avait pris conscience de cette occupation et de ses drames, elle aurait pu prévoir, ou tout au moins se prémunir, des désastres de la Seconde Guerre mondiale...

Pour vous procurer cet ouvrage, laissez vos coordonnées sur le mail suivant : jeanauriol@wanadoo.fr, l'auteur vous indiquera la marche à suivre.

La couverture illustrée par une aquarelle de JL Marfaing.

Germain Monfort a fait une étude sur les façades charpentées et les claustras des granges du Comminges. Le résultat de son travail fait l'objet d'un ouvrage publié aux éditions Loubatières intitulé tout simplement « Granges du Comminges ». Vous y trouverez des explications sur les différents types de charpentes et de claustras, leur utilité et des conseils pour sauvegarder ce qui peut encore l'être. Il est illustrées de belles photos et surtout de superbes aquarelles de Jean-Loup Marfaing qui présente aussi les particularités de la ferme Commingeoise.

Ce recueil est disponible dans toute bonne librairie commingeoise, et notamment à la Librairie Victor Hugo à St-Gaudens.

La couverture du livre, une invitation au voyage...

 Une fois n'est pas coutume, mais le livre que je vais vous présenter n'est pas du tout régional, ni par son intrigue, ni par son auteur. Mais ce dernier ayant lu mon blog (et je l'en remercie), il m'a communiqué les informations concernant son premier roman.

Sylvain Lambert a 39 ans, est originaire de Villefranche-sur-Mer, a grandi à Cabestany(Pyrénées-Orientales) et vit actuellement a Combs-la-Ville (Seine-et-Marne). Passionné par l'écriture, ses courants d'appartenance sont divers : de Beaudelaire à Marc Lévy en passant par Guillaume Musso, sans oublier Marcel Pagnol et la Provence qui berça mon enfance.

« L'horizon d'hier » raconte l'histoire d'un homme, d'une femme, d'une famille face à leur destin, dans ces moments difficiles où l'on recherche dans les expériences passées la force de croire en l'avenir. Où comment demain expliquera hier et permettra d'affronter maintenant. Le temps se mélange au milieu d'histoires d'amour, d'amitiés et de sentiments différents.

C'est un récit dans lequel on se plonge sans peine, une histoire simple à rebondissements, des personnages attachants avec lesquels on passe un agréable moment. Un bol d'espoir pour ceux qui sont dans la difficulté.

Il s'agit d'un livre à rendre avec soi pendant un voyage, des trajets, des attentes, des instants perdus ou de repos. D'un livre pour des femmes, des hommes qui croient au destin, à la vie, à l'amour et à la réalité des sentiments. D'un livre qui ouvre les portes de la sexualité et aussi de son absence. D'un livre pour les femmes qui aiment les hommes qui aiments les femmes qui aiment les hommes...

Cet ouvrage est publié au éditions Amathée, 2 rue Crucy à Nantes. Votre libraire préféré n'aura pas de mal pour vous le fournir !

La couverture du recueil.

Le 11 juin 1906, Félix Régnault, libraire toulousain passionné de montagne et de paléontologie, bien connu par ses fouilles dans les cavernes pyrénéennes, découvre les premières mains peintes de la grotte de Gargas. Cette découverte exceptionnelle attira les plus célèbres préhistoriens de l'époque : Emile Carthailhac et l'abbé Henri Breuil. ils y entreprirent par la suite l'étude de l'art pariétal et les premières fouilles scientifiques dans la zone d'habitat. D'autres chercheurs s'y succédèrent, attirés par la richesse et l'originalité de son dispositif pariétal.

La découverte des peintures et des gravures n'a fait que renforcer l'intérêt du public pour cette grotte visitée comme curiosité depuis le 19ème siècle. Afin d'assurer la meilleure conservation de ses oeuvres datées de plus de 26 000 ans, tout en permettant leur accès aux visiteurs de plus en plus nombreux, un ambitieux projet de réaménagement s'est achevé en 2004. Cette même année débutait un projet de recherches visant à réactualiser les connaissances sur la grotte.

Edité par la communauté de communes du canton de Saint-Laurent-de-Neste, cet ouvrage richement illustré est destiné à un public non spécialiste. Il veut fêter l'événement du centenaire de la découverte paer un hommage au siècle de recherches écoulé.

co-écrit par Pascal Foucher, Cristina San Juan-Foucher et Yoan Rumeau, ce superbe recueil est disponible dans toute bonne librairie, et notamment à la librairie Victor Hugo à Saint-Gaudens.

Une oeuvre de Richard Texier en couverture.

Jean-Marie Laclavetine était l'invité des septièmes rencontres Cinéma et Littérature. il avait carte blanche pour choisir les films et les artistes qu'il présenterait.

 Richard Texier est un peintre que l'écrivain connait bien, et il a exposé ses oeuvres durant trois semaines dans la galerie du théâtre Jean Marmignon et au musée municipal.

 A cette occasion, la municipalité a fait publier aux éditions Le Temps qu'il Fait, un catalogue des oeuvres récentes avec un texte de Jean-Marie Laclavetine intitulé Soleil au nord.

 En voici les premières phrases : "Il voit la vie partout. Dans le nuage qui balance au dessus du ponton, dans l'algue brune qui dodeline à la surface de l'eau, dans les baraques de ciment qui s'étiolent aux rives de l'estran, dans chacun des objets qui lui sautent aux mains - morceaux de bois vérolés par l'amour vicieux du temps, coquillages, cailloux, cordages étiolés dont les pendus ne veulent plus - dans le train-train des marées.

En vous aussi, il voit la vie, pour peu que vous vous relachiez, pour peu que votre regard se fasse vague, que vos lèvres s'entrouvent au forcing des embruns, en bon chasseur, il la voit, la vie, et méfiez-vous, il pourrait bien la réveiller."

 Ce beau recueil, ouvert sur l'imaginaire et le rêve, est disponible dans toute bonne librairie, et notamment à la librairie Victor Hugo à Saint-Gaudens.